Discover Anasma’s shows
“Anasma en tournées”
50 min. Tout public
Direction artistique : Anasma Vuong
Direction événementiel : Laurence Cohen
Spectacle performance modulaire
Danse, Chorégraphie, Réalisation : Anasma
Mise en scène : Laurence Cohen
Musique : Omar El Barkaoui, Chaplin
Note d'intention par Laurence Cohen
Dans son «Seule en scène», plusieurs « Anasma » se relaient dans un format innovant où elle interprète Charlot, tantôt actrice, tantôt réalisatrice, toujours danseuse. Chapeau melon et canne l’accompagnent. Ce spectacle-performance sera ponctué des extraits du livre «Histoire de ma vie » de Charles Chaplin, de citations à la croisée de projections sur fond de ses musiques. J’ai opté pour une mise en abyme pleine d’audace, de poésie et d’humour interprétée par la chorégraphe Anasma qui incarne un Charlot au féminin, porteuse des valeurs chères à Charles Chaplin. Nous découvrons un Charlot citoyen du monde, multi facettes. Anasma se prend au jeu sans se perdre, et nous entraîne entre écran et scène : jusqu’où ira-t-elle?
“Nour, récits de vie”
Effectif : 4 musiciens et 1 danseuse
Direction musicale : Emmanuel Bardon
50 min. A partir de 6 ans
Distribution
Danse Anasma
Chant & Harmonium Emmanuel Bardon
Harpe Luce Courceulles
Nyckelharpa & Fidula Aliocha Regnard
Percussions Henri-Charles Caget
équipe de création
Écriture, mise en scène & chorégraphie Élodie Chan
Chorégraphie Anasma
Compositions Aliocha Regnard
Compositions et arrangements Henri-Charles Caget
Costumes Clara Ognibene
Assistante mise en scène Angeline Bouille
Création graphique Judith Chomel
Animation graphique Adrian Tissot
Coordination vidéo Guillaume Blanc
Scénographie et lumière Hervé Recorbet
Regard extérieur Angeline Bouille
Note d'intention par Elodie Chan
L’envie commune de l’équipe artistique était de s’interroger sur la mémoire, la transmission, ce qui crée nos légendes familiales. Comment grandissent nos souvenirs à l’intérieur de nous ? Comment nous construisent-ils et nous nourrissent-ils ?
Nous en sommes venus à cette idée : c’est dans nos souvenirs heureux, gardés en nous tels des trésors, que nous puisons la force et le courage d’affronter obstacles et traumatismes.
À partir de là, j’ai imaginé un voyage dans la psyché d’une petite-fille, Nour. Ce voyage initiatique et imaginaire lui permettra de surmonter ses peurs, protégées par ses souvenirs heureux. Dès lors, j’ai souhaité travailler sur l’image de l’orage. L’orage, symbole des peurs enfantines. Également, de n’importe quel traumatisme que peut avoir subi un enfant (guerre, immigration forcée, maltraitance…), tout en évitant un abord frontal et trop brusque. L’orage, donc, comme obstacle à affronter.
Durant cet orage, Nour se projette dans sa mémoire, y cherche du réconfort. Elle voyage, revit des scènes de son enfance, entend les voix familiales qui l’habitent et la conseillent. Dans chaque souvenir, Nour récupère un objet. Alors que l’orage déferle et inonde sa chambre, Nour construit un bateau en assemblant un à un ces objets. Elle vogue sur sa petite embarcation jusqu’au calme du matin. J’ai choisi une trame narrative simple et jouant avec le fantastique. Selon moi, elle permet une double-lecture. Tout d’abord, un conte où une petite fille traverse l’orage à bord d’un bateau qu’elle s’est elle-même construit. Et aussi une métaphore, celle des endroits intérieurs où l’on va puiser la force d’affronter les moments de vie difficiles.
“Citoyenne du Monde”
60 min. Tout public
Spectacle autobiographique
Danse, Chorégraphie, Texte : Anasma
“Et vous, vous en êtes où?”
Durée du spectacle : 55 minutes
Bord de scène : Possible après le spectacle
Age conseillé : À partir de 8 ans
Conception, texte : Catherine Veillet
Création musicale/Compositeur : Henri-Charles Caget
Musicien Nyckelharpa : Aliocha Regnard
Chorégraphe, danseuse : Anasma
Habillage sonore : Nutone
Note d'intention par Catherine Veillet
Rocédoric vient de faire l’expérience de la Perte. Lui qui s’était appliqué toute sa vie, à tenir à bonne distance la moindre conversation ou interrogation autour de la mort (« c’est pour les autres »).
Après la sidération, le choc, il découvre cette injonction de « vite faire son deuil » afin de ne pas trop déranger les autres, les vivants. Il cheminera cependant à son rythme , au travers des saisons, à la recherche de réponses intérieures, que son défunt lui apportera… peut-être.
Ainsi, tout doucement, Rocédoric a commencé à parler de la Mort… de ses morts… de nos morts… et ça lui a fait du bien.
Il s’est alors interrogé : et si l’un des cadeaux cachés du deuil était d’arrêter d’accepter que la vie coule sur nous et nous invitait à revenir à l’essentiel, simplement ?
Rocédoric nous parle du deuil, entre ombres et lumière, accompagné sur scène par un musicien et une danseuse. Le ton est tantôt léger ou émouvant, parfois ironique.
Et vous vous en êtes où ? est un écrin rempli de douceur qui fait du bien et qui ouvre à la réflexion autour de la perte et de la place que l’on fait à nos défunts… Mais c’est surtout prétexte à un lumineux hommage à tous nos envolés.
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